La soupe connaît peu d’heures. On la sert autant en entrée qu’en guise d’en-cas. Bien équilibrée, elle peut devenir un repas en soi. On parle alors de soupes costaudes. Mais attention! Toutes les soupes consistantes ne sont pas des soupes-repas.
Pour qu’une soupe soit servie en repas principal, elle doit contenir de la viande, ou un substitut, afin de fournir le minimum de 15 g de protéines requis. Sans quoi, elle ne sera pas suffisamment soutenante pour tenir jusqu’au repas suivant. Les bonnes sources de protéines sont la viande, la volaille, le poisson, les fruits de mer, les légumineuses et le tofu. Parfois, il peut être nécessaire d’accompagner la soupe d’un morceau de fromage ou d’une poignée de noix.
Pour les gens pressés, les légumineuses en conserve constituent un excellent choix. En effet, une quantité de 3/4 de tasse (180 ml) de légumineuses (pois, lentilles, haricots blancs, etc.) renferme près de 13 g de protéines, et ce, sans compter le contenu en fibres. La fève de soya, quant à elle, comporte le double de protéines pour une même quantité.
Aussi, pour apporter toute l’énergie au corps, une soupe-repas doit inclure des glucides soit par l’ajout d’une céréale (riz, orge, quinoa, pâte alimentaire…) dans le bouillon ou d’une tranche de pain à grains entiers, en à-côté. Enfin, le repas sera dit complet avec une bonne portion de légumes ou de fruits.
Essayez la soupe-repas crémeuse au poulet et riz, la soupe-repas aux crevettes ou la soupe épicée boeuf et tomates.
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